Repenser, Récupérer, Réparer, Réutiliser, Recycler. Ce sont les 5 piliers d’une stratégie supportant l’économie circulaire dans le textile, la stratégie des 5R.
La réparation est un maillon essentiel pour le développement durable car elle permet d’optimiser et d’allonger l’espérance de vie d’un article.
La réparation d’articles n’est pas nouvelle dans le secteur textile. Cependant, elle n’est pas systématique dans tous les marchés.
Le marché du vêtement de travail a particulièrement démocratisé la réparation et la maintenance des actifs textiles. Qu’il s’agisse de sécurité des personnes ou d’image de marque, les équipements alloués aux employés doivent rester en bon état.
En cela, l’état des vêtements de travail est régulièrement évalué afin d’identifier la maintenance nécessaire.
Le modèle d’affaire de la gestion des vêtements de travail est, dans certains pays, celui de la location. Ce sont donc les loueurs qui prennent en charge la maintenance et la réparation, parfois par le biais de sous-traitants.
La RFID apporte de nombreux bénéfices au maintien de la conformité des vêtements de travail. Elle permet de fournir des informations essentielles comme :
Tous ces éléments optimisent considérablement l’entretien des vêtements de travail, qu’il s’agisse de la régularité de la maintenance, des points de vigilance suite aux dernières réparations, ou encore l’estimation de la fin de vie.
Pourtant, les étiquettes RFID traditionnelles présentent une limite de confort et d’efficacité relative à leur association à l’article qu’elles équipent. En effet, le risque de détachement de l’étiquette RFID est particulièrement présent sous sa forme classique, soit car elle peut gêner le porteur susceptible de la retirer, soit parce qu’elle peut se décrocher et tomber par accident. Toute l’information nécessaire à la maintenance et à la réparation, ainsi que l’historique du vêtement, est dès lors perdue.
Grâce à sa technologie E-Thread™, Primo1D a repensé le facteur de forme de la RFID, au travers d’un fil non-détachable, imperceptible et durable. Incorporé directement pendant le processus de fabrication ou sur le parc existant, il ne gêne pas l’utilisateur et accompagne le vêtement tout au long de son cycle de vie. Durable, il assure la persistance de l’information du vêtement ainsi que tout son historique.
Enfin, la composition et le facteur de forme du tag Primo1D lui permet de subir le processus de recyclage avec le vêtement.
Si la réparation s’est démocratisée sur le marché du vêtement de travail, elle reste à se développer sur le marché de la distribution et des marques de textile.
Cependant, des modèles d’affaire émergents proposent, pour certains types de vêtements des services de location, notamment les équipements textiles nécessitant un certain investissement à l’achat.
Les enseignes se retrouvent ainsi dans l’obligation d’assurer l’état de conformité du matériel et des vêtements qu’elles louent, ce qui implique de la maintenance et de la réparation.
Il s’agit également pour les loueurs d’optimiser le cycle de vie des vêtements afin de rentabiliser au mieux les articles loués, tout en les gardant conformes.
La réparation est une réponse directe à la durabilité d’un article car elle lui permet de continuer son cycle de vie au lieu d’être jeté en cas de dommage.
De la même manière que pour le vêtement de travail, conserver l’historique de réparation d’un article de marque grâce à un tag RFID embarqué facilite les opérations de maintenance.
Ainsi, la nouvelle solution RFID de Primo1D promet d’être plus durable et plus adaptée à ce cas d’usage dans la grande distribution textile.